Il est des jours où un doux malaise m’envahit
Toutes ces contradictions sur la cime de mes pensées
Boîte à rêver, boîte à aimer, boîte à penser
Toutes ces choses qui font cette vie
Savoir aimer les autres me rend plus fort
Mais mon esprit vagabond prolonge ma vie terrienne
Je sors les oriflammes et attend que la beauté vienne
Pour apprécier le monde , il faut parfois faire le mort
Puiser au fond du puits de l’être, se ressourcer
Et emmener dans les tranchées son cœur en bandoulière
Affronter les erreurs, les injustices sans s’adonner à la prière
Pas de soucis dans ma galaxie, se réfugier pour mieux aimer
Ces instants tannés de douceur ne les gardons pas pour autant
Savoir s’exprimer, réagir, tout en gardant son tapis volant vers la stratosphère
Et si certains palpitants sont morts ou se terrent
J’irai entretenir mes faisceaux d’amour irradiés vers des yeux plus brillants
Ne pas se faner et laisser les plus belles espérances en contrebas
Garder le cœur grand ouvert pour ne pas laisser
Passer toutes ces effluves de bonheur fugace que l’on a traversé
et se hisser plus haut que ces chats virés dans l’amer
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