Je me réveille, regard hostile
Dans les lointains, je vois la rive
L’humanité à rétréci, sous le
soleil de l’agonie
J’allume un beau bouquet de rêve,
pensant, qu’on reste des milliard d’humains...
Je crève un œil à mes espoirs
Peut être à t’ont perdu le sens
Sous la violence arrimante, des peurs
qui naissent...
J'accroche mes crocs aux rêve que, l'on
reste des milliards d'humains...
J'embrasse la rose du printemps
Peut être est-elle une balle à blanc
Elle est là la belle endormie, comme
les autres à l’agonie
J'espère un petit temps soi peu...
qu'il reste un petit peu d'humain
Dans les grandeurs de la mappemonde, le
même bocal pour tout le monde
Si nous sommes puttes sur l'arc en
ciel
les preuves se glacent derrière
l'enjeu même si l'on reste, des milliards d'humains...
Mais dis moi?
Dans ces milliards où est l'humain
Ou est la dune dans ce ravin
Quand réfléchissent ces âmes
errantes
Dans les dédales de leur puissance
Quand le récif s'approche de nous
Combien de mètres avant la proue
Comme un trou noir s'aspire lui même
La trajectoire à nulle ne mène
Sommes nous l'arrête dans le poison ?
Celle là qui mène à l'extinction
Est-ce l’insurrection des
consciences ?
Quand le mal est dans... l'abondance
Quand le mal est dans... l'abondance
On se rendort au vent des morts
Celui qui pousse est le plus fort
On se fédère au mortifère,
l'humanité oui le préfère
Quand on oublie d'aimer sa terre, on se
dit... Qu'on est quand même... des putains d'humains...
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