dimanche 16 décembre 2012

 

Je me réveille, regard hostile

Dans les lointains, je vois la rive

L’humanité à rétréci, sous le soleil de l’agonie

J’allume un beau bouquet de rêve, pensant, qu’on reste des milliard d’humains...

 



Je crève un œil à mes espoirs

Peut être à t’ont perdu le sens

Sous la violence arrimante, des peurs qui naissent...

J'accroche mes crocs aux rêve que, l'on reste des milliards d'humains...
 



J'embrasse la rose du printemps

Peut être est-elle une balle à blanc

Elle est là la belle endormie, comme les autres à l’agonie

J'espère un petit temps soi peu... qu'il reste un petit peu d'humain
 



Dans les grandeurs de la mappemonde, le même bocal pour tout le monde

Si nous sommes puttes sur l'arc en ciel

les preuves se glacent derrière l'enjeu même si l'on reste, des milliards d'humains...

 



Mais dis moi?
Dans ces milliards où est l'humain
Ou est la dune dans ce ravin
Quand réfléchissent ces âmes errantes
Dans les dédales de leur puissance



Quand le récif s'approche de nous
Combien de mètres avant la proue
Comme un trou noir s'aspire lui même
La trajectoire à nulle ne mène



Sommes nous l'arrête dans le poison ?
Celle là qui mène à l'extinction
Est-ce l’insurrection des consciences ?
Quand le mal est dans... l'abondance



On se rendort au vent des morts

Celui qui pousse est le plus fort

On se fédère au mortifère, l'humanité oui le préfère

Quand on oublie d'aimer sa terre, on se dit... Qu'on est quand même... des putains d'humains...












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