jeudi 26 janvier 2012
Salomé
Salomé je t’ai perdu dans l’étincelle du bonheur
Allongé dans l’aurore en ton sein la torpeur
Le grand vide cannibale qui a pris mes erreurs
Comme un cri, comme un râle j’ai cassé mon honneur
Salomé j’ai perdu de tes baisés la clé
Celle qui était caché et finalement si près
De mes yeux ravivés à décompter tes fées
Et ton cœur abimé, s’enveloppe de grès
C’est ton amour esquinté que le temps à sculpté
Sur tes peurs ampélites, des tempêtes abrités
A ces chaines attachées que tu as arraché
A ton cœur mélopée qui voulait crépiter
Si la vie est un creux d’où doit naître l’envie
Je te dois cet aveu que je crois infini
Oh Salomé, feu incendiaire de la vie
Propages les rêves, propages les cris
Dans les lumières de l’infini
Salomé tu a crus à l’enfer des décors
A l’envers, j’y ai lu, dans ma poussière de tord
A la lueur apparue sous ton sein contrefort
Je peux dire j’y ai cru à la vie à l’amor
Sous tes yeux infinis la beauté du trésor
S’est alors corrompu à notre mise à mort
Si la peur est un cri qui s’écrit sur le corps
Sur ma peau lacérée j’y écris mes remords.
Salomé, sans un mot sans un bruit caressait les esquisses
De la peinture à l’eau dans la nuit de sévices
Mais les larmes ont coulé emportant avec elles
Dans le contre courant, mon cœur et ses prunelles
Si la vie est un creu d’où doit naitre l’envie
Je te dois cet aveu que je crois infini
Salomé mon petit feu j’y ai cru à l’envie
De me dorer au creux de tes joies assourdi
Par le bruit de ces voix dont les crasses t’ont Sali
Je me noie dans l’envie de te voir mon amie
Oh Salomé feu incendiaire de la vie
Propages tes rêves, propages tes cris
Dans les lumières de l’infini
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