
Au fil du soir qui t’a laissé
J’harangue les lucioles du passé
En trébuchant sur l’oraison
J’ai peine perdu pour l’horizon
Respire le désert qui s’annonce
Sous tes dévers coup de semonce
Ce soir je passe les larmes, gauche
Et cette tristesse n’est qu’une ébauche
Affleure des peaux prononce tes mots
Marteau-pilon comme un sanglot
L’écho de froid burine, la mort en toi s’enfile
Déverse et tambourine et reste l’émoi du spleen
Tu as versé au creux des rimes
Des profondeurs vertigineuses
Sous ta candeur crépusculaire
Des cicatrices multipolaires
Profil public silhouette de l’ombre
Lunettes obscures cachent le sombre
De ta tripale envie de pondre
De mots d’ici en odyssées
Voyage céleste dans tes contrés
Textuelles reflets dans ton congé
JE m’arcqueboute, un viscère râle
A la tristesse de l’encéphale
Tes mots falaises à travers ciel
L’amer soudain brusque et vivant
Dans tes ferveurs y voir les fiels
En révérences pour touts ces maux
Éclipse saillante dans la nuit
Ouvrage tremblant dans tes mains lui
Soleil couchant, plus d’horizon
Réveil perdant, plus de raison
De mélopée en cellophane
Le monde s’écrit « tout feu tout fane »
Ta révérence comme un soupir
Les oiseaux se cachent pour mourir
J’harangue les lucioles du passé
En trébuchant sur l’oraison
J’ai peine perdu pour l’horizon
Respire le désert qui s’annonce
Sous tes dévers coup de semonce
Ce soir je passe les larmes, gauche
Et cette tristesse n’est qu’une ébauche
Affleure des peaux prononce tes mots
Marteau-pilon comme un sanglot
L’écho de froid burine, la mort en toi s’enfile
Déverse et tambourine et reste l’émoi du spleen
Tu as versé au creux des rimes
Des profondeurs vertigineuses
Sous ta candeur crépusculaire
Des cicatrices multipolaires
Profil public silhouette de l’ombre
Lunettes obscures cachent le sombre
De ta tripale envie de pondre
De mots d’ici en odyssées
Voyage céleste dans tes contrés
Textuelles reflets dans ton congé
JE m’arcqueboute, un viscère râle
A la tristesse de l’encéphale
Tes mots falaises à travers ciel
L’amer soudain brusque et vivant
Dans tes ferveurs y voir les fiels
En révérences pour touts ces maux
Éclipse saillante dans la nuit
Ouvrage tremblant dans tes mains lui
Soleil couchant, plus d’horizon
Réveil perdant, plus de raison
De mélopée en cellophane
Le monde s’écrit « tout feu tout fane »
Ta révérence comme un soupir
Les oiseaux se cachent pour mourir
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